EVARS : Enquête sur le coût du programme et les bénéficiaires réels de l’éducation nationale

EVARS est un programme de l’éducation nationale. Il a pour thème l’éducation à la vie affective et relationnelle, ainsi que sentimentale. Il est destiné aux élèves de l’école maternelle au lycée. Le programme a été publié au Journal officiel le 5 février 2025 par Elisabeth Borne (encore elle !).

Le programme rentrera donc en application en septembre prochain pour la rentrée scolaire 2025-2026. Les enfants en maternelle, les élèves des écoles primaires, ainsi que les collégiens et lycéens, bénéficieront de trois séances annuelles du programme EVARS, intégralement financées par les contribuables.

Le sujet est hautement sensible

D’énormes pressions sont faites, avec des intimidations contre toutes les personnes qui ne parlent pas positivement du programme EVARS.

En effet, l’éducation nationale n’a pas envie de se retrouver avec des manifestations à la rentrée scolaire. Je pense à tous les français de la communauté musulmane et catholique, qui s’inscrivent dans des valeurs traditionnelles et que ce programme progressiste va nécessairement heurter.

L’éducation nationale aurait voulu faire une provocation à destination des communautés religieuses du pays, qu’elle ne s’y serait pas prise autrement.

Le coût du programme EVAR : 703 millions d’euros

Regarder la vidéo ci-dessous pour plus d’explications sur les calculs du coût du programme EVARS de l’éducation nationale

Les éléments les plus dérangeants du programme

Il est important de rappeler que le programme EVARS, tel qu’il a été publié par l’Éducation nationale, constitue une version largement édulcorée du projet initial. Nous en sommes déjà à la troisième mouture : un texte soigneusement expurgé de tout élément trop explicitement idéologique, notamment de ses références au courant Woke, pourtant sous-jacent. Ce « nettoyage » a d’ailleurs été reconnu publiquement par Élisabeth Borne.

Malgré cela, le contenu reste empreint d’étrangetés qui relèvent presque du domaine psychiatrique. Au fil de sa lecture, un sentiment de malaise grandit : le programme semble imprégné des angoisses et névroses de ses rédacteurs, comme si leurs tourments intimes s’étaient transposés dans ce texte officiel.

Qu’on se rassure toutefois : une nouvelle version, encore plus « progressiste », est d’ores et déjà annoncée pour septembre 2027 ! Le processus d’accoutumance suit son cours, méthodiquement. Tout est prévu, pour le bien de tous… L’État veille — sur vos enfants.

Alors s’il n’y a rien réellement offensant, qu’est-ce qui pose problème dans le programme EVARS ?

1^ᵉʳ problème : le rôle de l’école est d’enseigner, mais l’état veut éduquer

Dans un monde « Normal », éduquer, c’est le rôle des parents. Le rôle de l’école est d’instruire même si elle s’est affublée le nom « d’éducation nationale ». Encore une fois, avec EVARS, l’État s’arroge une mission morale qui ne lui revient pas : l’éducation sexuelle de nos enfants.

1^ʳᵉ conséquence : déresponsabilisation des parents

Le corolaire de l’implication de l’état dans l’éducation, c’est la déresponsabilisation des parents. Qui devient alors responsable d’une éducation qui a « foiré », de la délinquance ou du mal-être des jeunes ? Les parents ? Difficile de reprocher quoi que ce soit aux parents quand l’État s’est arrogé tous les droits sur vos enfants, et ce, dès la maternelle.

2^ᵉ conséquence : l’école n’apprend plus rien – elle éduque façon chinoise

Peut-être parce qu’au lieu de transmettre le savoir, elle le remplace par de la morale ou pire de l’idéologie Woke. Résultat : les enfants, arrivent en 6° et ne savent ni lire ni compter et la France chute année après année dans les classements PISA.

2° Problème : l’âge des enfants

Et, cela ne semble choquer personne, le programme s’applique dès la maternelle, dès l’âge de quatre ans. On fait de l’éducation sexuelle à des petits bouts de chou qui dès qu’ils ont un problème demandent les bras de leur maman ou de la maitresse.

Ce programme a été fait par des gens qui n’ont dû jamais approcher des enfants de près ou alors pour de très mauvaises raisons.

3° problème : la puberté n’existe pas dans le programme

En lisant ce rapport, la puberté ne semble pas exister. Il n’y a pas de réalité biologique. Tout n’est que construction par la société. On retrouve ici les théories de Michel Foucault, philosophe post-structuraliste, père intellectuel de l’idée selon laquelle tout serait construit socialement — y compris la sexualité.

Exemple : Je pense que je suis une licorne arc-en-ciel, donc je suis une licorne, et vous devez respecter ce que je suis sinon je « crie ». Cela donne des gamins qui vivent dans une réalité parallèle. Sauf que la réalité, la « vraie » les rattrape, celle où il faut gagner sa vie et souvent cela finit mal. Très mal et qui est alors responsable ? Elisabeth BORNE, non, elle sera déjà partie en Suisse rejoindre Bruno Le Maire qui s’adonne à l’écriture de romans érotiques sur son temps de ministre.

4° Problème : intervenants ou militants ?

Un point essentiel mérite d’être souligné : les interventions dans le cadre du programme EVARS ne seront pas assurées par des enseignants de l’Éducation nationale, mais par des membres d’associations extérieures, souvent issues de milieux militants. Les professeurs, d’ailleurs, ne sont ni formés ni véritablement associés à cette démarche. Ceux avec qui j’ai pu échanger considèrent pour la plupart ce programme comme inutile et chronophage.

Dans un premier temps, les intervenants pourraient sembler neutres et légitimes. Mais, rapidement, les barrières tomberont, et ce sont des activistes — sans compétences pédagogiques avérées — qui prendront le relais, imposant leurs convictions personnelles au détriment d’une approche éducative équilibrée.

Ayez conscience que derrière EVARS se cachent avant tout des intérêts financiers. La défense acharnée de ce programme par de nombreuses associations n’est pas anodine : elles savent qu’elles pourront facturer à l’État des prestations estimées à 700 millions d’euros. Une opportunité économique pour elles, certes, mais un choix aux conséquences bien différentes pour nos enfants.

Conclusion sur le programme EVARS

L’éducation des enfants a toujours été l’instrument privilégié des régimes autoritaires pour imposer leur idéologie et affaiblir l’autorité des parents. Hier, c’était sous les traits de la jeunesse hitlérienne, des pionniers staliniens ou des enfants espions de Pol Pot.

Aujourd’hui, cela prend une forme plus insidieuse : sous les couleurs de l’arc-en-ciel et au nom de slogans prétendument progressistes, on cherche à orienter nos enfants.

Le programme EVARS, publié au Journal officiel et déployé dès septembre, n’est en rien une lubie complotiste. Il existe bel et bien. 700 millions d’euros sont mobilisés non pour améliorer l’apprentissage fondamental, mais pour imposer une vision du monde à des enfants qui ne maîtrisent parfois même pas encore la lecture et l’écriture.

Pendant ce temps, la France recule dans tous les classements internationaux en matière d’éducation.

Faut-il céder à la panique ? Non. Mais, il est essentiel de prendre conscience de la situation et d’agir. Agissons pour que nos enfants soient protégés des dérives militantes et qu’on n’oublie pas : la mission première de l’école est d’instruire, pas de formater les esprits.

Vidéo – Parents : vous devez ABSOLUMENT savoir ce qu’est EVARS

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Foire aux questions (FAQ) sur le programme EVARS (Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sentimentale) de l’Éducation nationale

Télécharger le programme EVARS officiel de l’éducation nationale pour 2025-2026

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